Le gâteau croustillant aux pommes et aux amandes de Trieste est un gâteau composé de trois couches de pâte à base de farine, sucre, poudre d’amandes, beurre, levure chimique et oeuf; en fermant une garniture de pommes et de sucre, saupoudré de poudre d’amandes.
Originaire de Trieste, capitale de la région du Frioul-Vénétie julienne au nord-est de l’Italie, ce gâteau croustillant aux pommes dérivé des gâteaux aux pommes vénitien, allemand et autrichien, se déguste lors des collations de la journée.
Niveau de difficulté : facile |
Temps de préparation : 20 min |
Temps de repos : 2 h |
Temps de cuisson : 45 min |
Temps total : 1 h 5 min + 2 h (repos) |
Pâte : |
350 g de farine, tout usage |
100 g de sucre en poudre |
100 g de poudre d’amandes |
200 g de beurre mou |
1 oeuf |
1 sachet de levure chimique |
Garniture : |
300 g de pommes |
25 g de poudre d’amandes |
1 cuillère à soupe de sucre en poudre |
Finition : |
sucre glace |
Préparation :
- Dans un bol, ajouter tous les ingrédients de la pâte et bien mélanger jusqu’à former une boule de pâte.
- Laisser reposer dans un endroit chaud durant environ 2 h.
- Couper la pâte en trois parties et étaler sur un plan de travail.
- Beurrer un moule de 24 à 26 cm de diamètre.
- Placer la première couche de pâte dans le moule.
- Préchauffer le four en mode statique à 170°C.
- Laver, peler, épépiner et couper les pommes en cubes.
- Mélanger les cubes de pommes avec la cuillère à soupe de sucre.
- Verser la moitié de la garniture aux pommes sur la première couche de pâte.
- Placer par dessus la deuxième couche de pâte et verser le restant du mélange de pommes sur la pâte.
- Placer la dernière couche de pâte et avec les dents d’une fourchette, percer les pâtes en différents endroits.
- Étaler la poudre d’amandes hachées sur le dessus.
- Enfourner durant environ 45 min.
- Sortir du four et laisser refroidir.
- Saupoudrer éventuellement de sucre glace.
- Servir et déguster !
Citation :
“La Cuisine, c’est l’envers du décor, là où s’activent les hommes et femmes pour le plaisir des autres…”
Bernard Loiseau