Le gâteau de semoule napolitain (ou migliaccio en italien) est un gâteau composé de semoule, ricotta, lait, eau, sucre en poudre, oeufs, beurre, oranges, citrons, sucre vanillé et eau de fleur d’oranger.
Originaire de Naples, remontant au Moyen-Age, ce gâteau facile à préparer à la texture et la saveur unique se déguste lors de la période de Carnaval.
Niveau de difficulté : facile |
Temps de préparation : 30 min |
Temps de repos : – |
Temps de cuisson : 40 min |
Temps total : 1 h 10 min |
6 personnes |
175 g de semoule de blé dur |
250 g de sucre en poudre |
500 ml de lait |
300 ml d’eau |
250 g de ricotta de brebis |
3 oeufs |
50 g de beurre |
2 oranges + 2 citrons |
2 sachets de sucre vanillé |
1 cuillère à café d’eau de fleur d’oranger (ou millefiori) |
sucre glace |
Préparation :
- Dans une grande casserole, verser le lait, l’eau, 50 g de sucre en poudre, le beurre, le sucre vanillé et les zestes entiers d‘orange et de citron.
- Faire chauffer à feu moyen en remuant avec une cuillère en bois jusqu’à ce que le beurre et le sucre soient fondus.
- Ajouter la semoule, baisser légèrement le feu et remuer au fouet à main jusqu’à obtenir une crème compacte.
- Sortir les zestes d’oranges et de citrons.
- Verser dans un plat de service. Couvrir de film plastique et laisser refroidir.
- Dans un bol, fouetter les œufs avec le restant de sucre, un autre sachet de vanille, des zestes d’orange et de citron finement râpés au batteur électrique jusqu’à obtenir un mélange mousseux et volumineux.
- Ajouter la ricotta tamisée avec une passoire. Fouetter rapidement.
- Verser la crème de semoule froide dans le mélange d’œufs, ricotta et de sucre.
- Fouetter jusqu’à obtenir une pâte lisse. Ajouter l’eau de fleur d’oranger.
- Verser dans un moule de 24 à 26 cm de diamètre couvert de papier sulfurisé.
- Préchauffer le four en mode statique à 180°C.
- Enfourner durant environ 40 min.
- Sortir du four et laisser refroidir avant de démouler.
- Saupoudrer de sucre glace.
- Servir et déguster !
Citation sur la cuisine :
« La bonne cuisine, c’est le souvenir. »
Georges Simenon