La génoise ultra-moelleuse japonaise est un gâteau moelleux composé d’huile, farine, lait, oeufs, sucre en poudre et sel.

Originaire du Japon, cette génoise est dérivée du gâteau castella (kasutera en japonais) adaptation au goût japonais du Pão-de-Ló introduit au XVIe siècle au Japon par les missionnaires portugais. Sa consistance très moelleuse est due à l’incorporation de blancs en neige à la préparation et à sa cuisson au bain-marie.

Facile à préparer, ce gâteau ultra-moelleux s’utilise pour réaliser des gâteaux à couches ou se déguste coupé en tranches au petit-déjeuner et lors des autres collations de la journée.

Difficulté : facile

Préparation : 15 min

Repos : –

Cuisson : 55 min

Total : 1 h 10 min

Portions : 6 personnes

50 ml d’huile

80 g de farine, tout usage

80 ml de lait

1 oeuf + 5 jaunes d’ oeufs

80 g de sucre en poudre

5 blancs d’oeufs

1 pincée de sel

Préparation :

• Dans un bol, verser l’huile et ajouter la farine tamisée. Mélanger.
• Ajouter le lait et mélanger de nouveau.
• Séparer les blancs de 5 jaunes d’oeufs.
• Ajouter un oeuf entier et 5 jaunes d’oeufs à la préparation. Mélanger jusqu’à obtenir une consistance lisse.
• Dans un bol, fouetter les blancs d’oeufs jusqu’à obtenir une consistance mousseuse.
• Ajouter la pincée de sel et le sucre et continuer à fouetter jusqu’à obtenir une consistance ferme.
• Ajouter 1/3 des blancs en neige à la préparation et remuer. Verser la préparation dans le mélange de blancs d’oeufs en neige restant et incorporer délicatement en effectuant des mouvements lents de bas en haut avec une spatule.
• Verser la préparation dans un moule à bords hauts de 20 à 22 cm de diamètre.
• Placer le moule dans un récipient plus grand et y verser de l’eau jusqu’à mi-hauteur du moule.
• Préchauffer le four en mode statique à 170°C et enfourner durant 50 à 55 min.
• Éteindre le four et laisser 5 à 10 min.
• Entrouvrir la porte du four et laisser refroidir complètement.
• Sortir du four et utiliser.
• Déguster !

Citation :

“La gastronomie fait trembler d’intelligence nos narines.”

Charles Monselet