Le gâteau au chocolat fondant ou tenerina composé de chocolat noir, beurre, sucre en poudre, oeufs et farine.
Également appelé gâteau reine du Montenegro ou Montenegrina, originaire de Ferrare en Italie, il a été conçu en l’honneur d’Elena Petrovich de Montenegro épouse du roi Victor Emmanuel III. Dans le dialecte de Ferrare, il est aussi appelé « torta taclenta » ou « torta tacolenta » (« collante » en italien) du fait de sa texture interne très douce qui fond dans la bouche.
Il existe plusieurs variantes modernes qui s’écartent de la tradition ferraraise : la tenerina à la citrouille, au chocolat blanc, à la noix de coco et à la châtaigne.
Facile et rapide à préparer, ce gâteau à la légère croûte croustillante et à la texture fondante se déguste lors des collations de la journée.
| Niveau de difficulté: facile |
| Temps de préparation : 15 min |
| Temps de repos : – |
| Temps de cuisson : 15 min |
| Temps total : 30 min |
| 6 personnes |
| 200 g de chocolat noir |
| 100 g de beurre doux |
| 100 g de sucre en poudre |
| 4 oeufs |
| 60 g de farine, tout usage |
Préparation :
- Dans une casserole, faire fondre le beurre avec le chocolat à feu doux. Mélanger.
- Verser la crème au chocolat dans un bol et laisser refroidir.
- Séparer les jaunes des blancs d’oeufs.
- Incorporer un jaune d’oeuf à la fois au mélange.
- Ajouter progressivement la farine.
- Dans un autre bol, monter les blancs d’œufs jusqu’à obtenir une consistance mousseuse puis ajouter progressivement le sucre en poudre jusqu’à l’obtention d’une consistance ferme.
- Intégrer délicatement les blancs en neige à la préparation en effectuant des mouvements lents de bas en haut avec une spatule jusqu’à l’obtention d’un mélange homogène.
- Verser le mélange de 24 à 26 cm de diamètre couvert de papier sulfurisé.
- Préchauffer le four en mode statique à 180°C. Enfourner durant 15 min.
- Sortir du four et laisser refroidir avant de démouler.
- Saupoudrer de sucre glace et servir.
- Déguster !
Citation sur la cuisine :
“La cuisine, c’est quand les choses ont le goût de ce qu’elles sont.”
Curnonsky
