Les croissants à la vanille (ou Vanillekipferl en autrichien) sont de petits biscuits en forme de croissant, composés de farine, beurre doux, noix, sucre glace, vanille; saupoudrés de sucre glace vanillé. Ils sont parfois à base d’amandes ou de noisettes.
Originaires de Vienne en Autriche, ces biscuits sont traditionnellement fabriqués à Noël. Ils auraient été créés en forme de croissant de lune turc pour symboliser la victoire des autrichiens sur les Turcs en 1683 lors de la bataille de Vienne. Durant la période de l’Avent, ils sont également préparés et consommés en Allemagne, en Suisse, en Hongrie, en Pologne, en Croatie, en République tchèque, en Roumanie et en Slovaquie.
Faciles et rapides à préparer, friables et délicieux, ces biscuits se dégustent lors des collations de la journée durant les fêtes de fin d’année ou tout l’année.
Niveau de difficulté : facile |
Temps de préparation : 15 min |
Temps de repos : 30 min |
Temps de cuisson : 10 min |
Temps total : 25 min + 30 min (repos) |
environ 25 biscuits |
Pâte : |
260 g de farine, tout usage |
160 g de beurre doux |
70 g de poudre de noix |
50 g de sucre glace |
1 gousse de vanille |
Enrobage : |
200 g de sucre glace |
3 cuillères à soupe de sucre vanillé |
Préparation :
- Dans un grand bol, malaxer la farine tamisée, le sucre glace, les graines de la gousse de vanille et le beurre jusqu’à obtenir une pâte homogène.
- Incorporer ensuite la poudre de noix sans trop travailler la pâte pour éviter qu’elle chauffe.
- Former une boule de pâte et mettre au réfrigérateur durant environ 30 min.
- Façonner de petites boules de pâte, rouler pour obtenir des extrémités plus fines et donner une forme de croissant.
- Placer les mini-croissants sur une plaque de cuisson couverte de papier sulfurisé.
- Préchauffer le four en mode statique à 200°C.
- Enfourner durant environ 10 min.
- Sortir du four.
- Rouler les croissants encore chauds dans le mélange de sucre glace et vanillé.
- Laisser refroidir et servir.
- Déguster !
Citation sur la cuisine :
“La cuisine, c’est quand les choses ont le goût de ce qu’elles sont.”
Curnonsky