GÂTEAU DE SEMOULE À L’ANANAS (RAVA KESARI) – INDE

Le gâteau de semoule à l’ananas indien (ou rava kesari en hindi) est un entremets composé de semoule, ananas, eau, beurre clarifié, sucre en poudre, safran, lait et cardamome.

Originaire de la région du Deccan (Karnataka et Maharashtra), en Inde du Sud, il se prépare traditionnellement lors des fêtes (Nouvel An ou Ugadi) ou sert d’offrande lors des cérémonies religieuses hindoues.

Le terme rava signifie « semoule » et le terme kesari (« safrané » en français) se réfère à l’utilisation de safran qui confère une couleur jaune-orangée à cet entremets. Il existe de nombreuses déclinaisons du kesari bhath selon les régions, que ce soit à l’ananas, la banane, la mangue, le raisin, l’amande, la noix de cajou, la pistache…

Facile à préparer, ce dessert fondant et délicieusement parfumé se déguste lors des collations de la journée.

Niveau de difficulté : facile
Temps de préparation : 15 min
Temps de repos :
Temps de cuisson : 15 min
Temps total : 30 min
6 personnes
1 ananas
500 ml d’eau
150 g de semoule de blé
200 g de beurre clarifié
250 g de sucre en poudre
1 pincée de safran + 30 ml de lait
1/2 cuillère à café de poudre de cardamome
noix de cajou/ amandes/ pistaches

Préparation :

  • Dans une casserole, faire chauffer à feu moyen le beurre clarifié.
  • Ajouter la semoule de blé et faire cuire à feu doux durant 6 à 7 min en remuant sans cesse.
  • Ajouter le safran dilué dans le lait et la poudre de cardamome. Mélanger.
  • Laver, peler l’ananas et couper en petits morceaux.
  • Ajouter les morceaux d’ananas et faire cuire durant 3 min.
  • Verser l’eau et mélanger.
  • Mettre le couvercle et faire cuire à feu moyen durant 3 min.
  • Ajouter le sucre et mélanger.
  • Remuer durant 2 à 3 min jusqu’à ce que la semoule soit bien cuite.
  • Sortir du feu, verser dans un bol ou des verrines et laisser refroidir.
  • Décorer avec des fruits secs (amandes, pistaches ou noix de cajou).
  • Servir et déguster !

Citation :

“La bonne cuisine est honnête, sincère et simple.” Elisabeth David

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